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Alors que les activités humaines sont à l’origine d’un effondrement du vivant aux proportions et à un rythme sans précédent, les pays du monde entier se sont accordés en 2022, à l’issue de la COP 15, sur une trajectoire de réduction des pressions et de régénération de la biodiversité. L’objectif mondial : viser zéro perte nette de biodiversité d’ici 2030 pour s’engager dans une approche « nature positive ».
Deux ans plus tard, très peu d’acteur ont entrepris des actions pour atteindre cet objectif, malgré l’urgence et l’ampleur de la tâche.
Pour contribuer à l’atteinte des objectifs mondiaux fixés par la COP15, les acteurs économiques peuvent (et doivent !) dès aujourd’hui mobiliser des moyens pour comprendre et connaitre leurs impacts afin de les éviter et de les réduire, pour, in fine, s’inscrire dans une démarche de restauration et de régénération de la nature.
Agir à l’échelle de ses sites d’activité est un premier pas simple et nécessaire pour améliorer son empreinte biodiversité.
Quelles sont les grandes étapes pour se lancer ? Quels sont les résultats concrets d’une démarche biodiversité à l’échelle d’un ou plusieurs sites ? Quels sont les facteurs clés de succès ? Quels sont les bénéfices d’une telle démarche ? Comment dépasser d’éventuelles difficultés ?
Pour répondre à ces questions, rendez-vous jeudi 18 avril, de 11h00 à 12h00, avec Pauline Herrmann, Responsable, responsable du pôle Biodiversité chez ekodev, Roxane Daubié, consultante biodiversité chez ekodev, et le retour d’expérience de Anaïs Delahaye, ingénieure environnementale chez Laminés Marchands Européens.